LE VICE ET LA VERTU
Drame de 1962
Réalisation et scénario de Roger VADIM Co-scénariste Roger VAILLAND Directeur de la photographie Marcel GRIGNON Musique de Michel MAGNE Montage de Victoria Mercanton
avec
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Sortie le 01 mars 1963
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Résumé Paris, juin 1944. Alors que Justine, en robe de mariée, se prépare à entrer dans l'église, la police allemande arrête Jean, son fiancé. Justine se rend aussitôt à l'hôtel Lutétia, que les occupants ont transformé en lieu de plaisir. Elle y trouve sa soeur Juliette et la supplie d'intervenir auprès de son amant, le général von Bamberg. Juliette répond par un éloge de l'égoïsme et ne promet rien. Jean réussit à s'évader. Lorsqu'elle apprend la nouvelle par téléphone, Justine, qui pense que sa soeur est à l'origine de cette libération, se croit obligée d'aller remercier Juliette et von Bamberg dans leur hôtel particulier. C'est là qu'apparaît le colonel SS Schorndorf, venu assassiner le général, soupçonné de complot contre Hitler. Le poison foudroie von Bamberg. Subjuguée par le charme satanique de Schorndorf, Juliette devient sa maîtresse. Justine, témoin gênant, est déportée à la, un mystérieux château d'Autriche. Dans une tenue à l'antique, les jolies captives obéissent aux ordres de leurs bourreaux pervers. Tandis que l'armée allemande est en déroute sur tous les fronts, Schorndorf négocie en vain avec les Alliés et s'enfuit avec Juliette vers la. Accueillie parmi les maîtres, Juliette assiste à une parodie de tribunal et reconnaît sa soeur parmi les esclaves à punir. Dehors, les Américains cernent le château. Justine refuse d'aider Juliette, qui aurait voulu se tirer d'affaire en se faisant passer pour une détenue. Dans une ambiance d'apocalypse, Juliette meurt, empoisonnée par Schorndorf. Surpris par les assaillants, celui-ci est abattu par une rafale de mitraillette. Justine et plusieurs de ses compagnes réussissent à rejoindre les libérateurs.
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