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NUIT NOIRE 17 octobre 1961

 

 

Drame de 2004 durée 120' Couleur

 

Réalisation et scénario de Alain Tasma

Co-scénaristes François-Olivier Rousseau et Patrick Rotman

Directeur de la photographie Roger Dorieux

Musique de Cyril Morin

Montage de Marie-Sophie Dubus

Décors de Emile Ghigo

Costumes de Céline Guignard

Ingénieurs du son Marc Bastien, Bernard Borel,

Thierry de Halleux, Gilles Laurent, Henri Morelle,

Xavier Prêtre et Michel Sertillanges

 

avec

Clotilde Courau

Aurélien Recoing

Serge Riaboukine

Philippe Bas

Atmen Kélif

Jean-Michel Fête

Patrick Bonnel

Jean-Michel Portal

Alexandre Carriere

Matthias Van Khache

Djemel Barek

Jalil Naciri

Abdelhafid Metalsi

Stefan Wojtowicz

Stefan Elbaum

Christophe Kourotchkine

Pierre-Alain Chapuis

Julien Lucas

Adel Bencherif

Bruno Abraham-Kremer

Vahina Giocante

Lyes Salem

Thierry Fortineau

Loïc Brabant

Alain Rimoux

Hocine Choutri

Antoine Chain

Nicolas Jouhet

Florence Thomassin

Luc Palun

Salem Kali

Michel Trillot

Ouassini Embarek

Grégoire Oestermann

Marie-Charlotte Salmon

Jérôme Le Paulmier

Ahcène Nini

Bernard Lanneau

Guillaume Cramoisan

Mounir Margoum

 

Frank Berjot

Lyèce Boukhitine

Marie Denarnaud

Michel Scotto di Carlo

 

 Sortie le 19 octobre 2005

 

Résumé

 Le 17 octobre 1961, 30 000 Algériens gagnent le centre de Paris pour une manifestation pacifique, à l'appel du FLN. Dans la soirée, des milliers de personnes sont arrêtées. Dans les jours qui suivent, on repêche des cadavres dans la Seine.

 Le film croise les destins de personnages qui ont, chacun, une vue partiale et partielle de la situation : Sabine, journaliste ; Nathalie, porteuse de valises ; Martin, jeune flic sans engagement politique ; Tierce, policier syndicaliste ; Tarek, ouvrier de nuit non militant ; son neveu, Abde, qui suit des cours du soir ; Ali Saïd, cadre du FLN ; Maurice, coordonnateur de la Fédération de France du FLN. A ces personnages s'ajoute une figure historique : le préfet Papon.

 A partir de la juxtaposition et de la confrontation de ces points de vue, le spectateur reconstitue le puzzle des événements, épouse tour à tour les " vérités changeantes " de chacun.