LES ARPENTEURS
Comédie de 1971 durée 84' n&b
Réalisation et scénario de Michel Soutter Directeur de la photographie Simon Edelstein Musique de Franz SCHUBERT et Johannes BRAHMS Montage de Joële van Effenterre
avec
Benedict Gampert Armen Godel William Jaques Jacqueline Moore Germaine Tournier Nicole Zufferey
|
Sortie le 01 novembre 1972
|
Résumé Un arpenteur, Léon, dit "Cœur de Lion", rencontre Lucien. Lucien est amoureux de sa voisine Alice Taillefer dont la vertu "cascade" facilement. Il demande à Léon d'apporter à Alice un panier de légumes. Comme la casquette de Lucien semble plaire à Léon, Lucien la lui donne... Léon va chez Alice, la trouve très mignonne, brune, avec un charmant accent anglais. La belle n'est pas farouche, Léon en profite. Le lendemain, Léon rencontre à nouveau Lucien et lui avoue les doux instants passés auprès d'Alice. Celui-ci semble fort déçu! Léon rend à nouveau visite à Alice et se trouve face à face avec une jeune femme blonde, mystérieuse. Alice Taillefer ? c'est elle. Mais l'autre ? L'Alice d'hier ? La vraie Alice ne comprend pas. Elle rend à Léon sa casquette qu'il ne reconnaît pas. Plus tard, il fait la connaissance d'Eugène, le fiancé d'Alice, que cette dernière traite fort mal. Il semble bien qu'Alice soit sensible au charme de Léon, mais Léon trouve cette Alice-là un peu godiche par rapport à celle de la veille... Léon se creuse la cervelle. Où est "Alice"? Peut-être a-t-elle été assassinée ? Mû par cette pensée, Léon se précipite au commissariat. Pendant ce temps, rêveuse, Alice a donné un coup de téléphone. Peu après, arrive Ann. Ann est mignonne, brune, elle parle français avec un charmant accent anglais. Ann lui explique qu'elle est entrée hier chez Alice pour téléphoner juste quand Léon est survenu, d'où la méprise... Quand Léon revient, Ann lui dit que ni Alice, ni elle, ne désirent plus jamais le revoir. Léon s'en va, éructant des injures...
|