MAX ET LES FERRAILLEURS
Policier de 1970 durée 112' Couleur
Réalisation, scénario et dialogues de Claude SAUTET D'après le roman de Claude NÉRON Co-scénaristes et co-dialoguistes Claude NÉRON et Jean-Loup DABADIE Directeur de la photographie René MATHELIN Musique de Philippe SARDE Montage de Jacqueline Thiédot Costumes de Janine Autré et Jacques Cottin Ingénieur du son René Longuet
avec
Alain Belard
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Sortie le 17 février 1971
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Résumé
Max n'est pas un policier comme les autres ; solitaire et intransigeant, il ne vit qu'avec une seule idée en tête : arrêter des malfaiteurs en flagrant délit. Par la faute d'un indicateur trop bavard, il ne peut mettre un terme aux agissements d'une bande de pilleurs de banques. Il rencontre par hasard un ancien ami de régiment, Abel, qui se confie à lui sans savoir qu'il appartient à la police. Abel s'est acoquiné avec une bande de "ferrailleurs" de Nanterre. A défaut de grands truands, Max va s'efforcer de piéger ces amateurs dont il va téléguider les agissements. Il fait la connaissance de l'amie d'Abel, Lily, une jeune prostituée allemande. Se faisant passer pour Félix, un banquier, il devient son client attitré. Par son étrange comportement Max fascine Lily. Il lui sera dès lors aisé de lui donner tous les éléments qui amèneront la jeune femme à pousser Abel à commettre un hold-up "facile" contre la banque de Félix. Et Abel et sa bande sont pris en flagrant délit par Max lui-même. Lily, arrivée au dernier moment, assiste à l'arrestation d'Abel. Max lui dévoile la vérité et lui promet qu'elle ne sera pas inquiétée. Cependant, le commissaire Rosinsky, chargé de retrouver les complices, arrête la jeune femme. Max le somme de la relâcher. Devant son refus, il le tue et se laisse arrêter en flagrant délit sous le regard de Lily.
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