LE SIGNE DU LION
Comédie dramatique de 1959 durée 103' n&b
Réalisation et scénario de Éric ROHMER Dialogues de Paul GÉGAUFF Directeur de la photographie Nicolas HAYER Musique de Louis SAGUER
avec
Macha
Méril
Gaby
Blondé
France
Farnel
Jill OLIVIER
Sophie PERRAULT
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Sortie le 03 mai 1962 |
Résumé Pierre Wesserlin, compositeur d'origine étrangère, mène à Paris une vie de bohème, passant son temps en beuveries et accumulant les dettes. Un matin de juin, il apprend qu'une riche tante dont il est avec son cousin Christian, le seul héritier, vient de décéder. Afin de célébrer dignement l'événement il emprunte de l'argent à son ami Jean-François, journaliste à "ParisMatch ", et organise une grande fête avec tous ses amis. Il se moque de son horoscope qui lui prédit jusqu'à la fin de l'été, une période difficile (suivie, il est vrai, de beaucoup de chance). Aussitôt après, Jean-François part en reportage. A son retour, il apprend que Pierre a été déshérité. Il a changé de domicile et l'on a perdu sa trace. Jean-François se lance à sa recherche, mais il est obligé de repartir pour l'étranger. Pendant ce temps, la situation se dégrade pour Pierre. Les amis qui pourraient l'aider sont en vacances. La patronne de son hôtel le jette à la rue en gardant ses bagages. Affamé, sans logis, il dort à la belle étoile et tente maladroitement de dérober de la nourriture. Un clochard pittoresque, apitoyé par sa détresse, le prend sous sa protection et lui apprend à faire la manche. A son retour d'Afrique, Jean-François tente à nouveau de contacter son ami. A sa dernière adresse, il récupère son courrier et apprend que le cousin Christian s'étant tué en voiture, Pierre est désormais le seul héritier de la fortune de sa tante. Mais comme le musicien, honteux de sa déchéance, évite les quartiers où il pourrait rencontrer ses anciens amis, il demeure introuvable. Un soir cependant le clochard l'emmène jouer de la musique aux terrasses de Saint-Germain-des-Prés. C'est là que Jean-François le retrouve et lui apprend la bonne nouvelle. L'horoscope, finalement, ne s'était pas trompé.
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