L'ARMOIRE VOLANTE
Comédie de 1948 durée 90' n&b
Réalisation, scénario et dialogues de Carlo RIM Directeur de la photographie Nicolas HAYER Musique de Georges VAN PARYS Montage de Henri Taverna
avec
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Sortie le 29 octobre 1948
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Résumé M. Puc serait un bien paisible percepteur s'il n'avait, en la personne de sa tante, Mme Lobligeois, des occasions permanentes d'angoisse et de conflits. La vieille darne est autoritaire; elle a décidé d'aller chercher des meubles à Clermont-Ferrand. Le voyage doit s'effectuer en camion, par un froid sibérien. Et ce que craignait le brave percepteur arrive: sa tante meurt de froid sur le chemin du retour. Les deux déménageurs qui l'accompagnent cachent l'encombrant cadavre dans une armoire et livrent le tout à M. Puc. Tandis que les trois hommes se racontent les péripéties du voyage, le camion disparaît, volé... "Retrouvez le cadavre pour prouver le décès !" annonce le notaire au bon percepteur, qui part à la recherche de l'armoire fantôme. Un receleur a vendu le camion à un jeune couple qui a payé ses arriérés de loyer avec son contenu. Leur logeuse a cédé le tout à un hôtelier douteux, un certain M. Martinet. A l'hôtel, M. Puc ouvre toutes les armoires, vides... sauf une qui contient... le cadavre d'un gangster ! Une armoire manque toutefois. Puc la retrouve sur ta scène du théâtre du Grand Guignol, puis sur la route de Senlis, enfin sur une rivière qui mène droit sur une cataracte. M. Puc va enfin mettre la main dessus lorsque subitement... il est réveillé par sa tante, Mme Lobligeois, qui part chercher des meubles à Clermont-Ferrand par un froid sibérien...
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