LES GROS BRAS
Comédie de 1964 durée 85' n&b
Réalisation de Francis Rigaud Scénario et dialogues de Jacques Vilfrid Co-scénariste Claude Viriot Directeur de la photographie Didier Tarot Musique de Michel Magne
avec
Jean-Loup Philippe Robert Verbecke
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Sortie
le 19 juin 1964
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Résumé Descendant d'avion à Orly, une passagère est délestée d'un superbe bracelet de diamants que le voleur, pour passer la douane, glisse dans le sac d'une jeune fille, Nicole. Lorsque Jean, son frère, et Philippe, son fiancé, trouvent le bijou qui est tombé de son sac, ils quittent de toute urgence l'atelier de Ludovic, patron farfelu pour lequel ils réalisent des roman-photo, pour se mettre à la poursuite de leur sœur et fiancée, elle-même poursuivie par le galant voleur qui voudrait bien récupérer le précieux dépôt. Les journaux annoncent le vol du bijou et les jeunes gens comprennent que sa présence entre les mains de Nicole est fortuite. Ils se précipitent donc à l'hôtel « Prince de Galles » où est descendue l'infortunée propriétaire, Mme Andromes, pour lui rendre son bien. Celle-ci est ravie mais son mari, Brésilien explosif, l'est moins car il redoute l'expertise de la compagnie d'assurance : le bracelet est faux, l'original ayant été offert par lui à une jeune danseuse descendue au même hôtel, dont il brigue les faveurs. Il faut donc sans tarder opérer la substitution : ce sont nos deux photographes qui vont employer toutes les ressources de leur fertile imagination pour retarder l'expertise et retrouver la trace du vrai bracelet car la jeune danseuse, impécunieuse, s'en est défait et l'a remplacé par une copie. De couloirs en escaliers, ils remontent la filière, aidés de Nicole, harcelés par le bouillant Mr. Andromes, suspectés par la police. Alors qu'ils touchent au but, le bracelet, le vrai cette fois-ci, est à nouveau dérobé sous leurs yeux par le même voleur. Mais celui-ci a été reconnu par la jeune fille : poursuite échevelée à travers l'hôtel qui se termine par un passage en tornade dans les cuisines où voltigent bientôt les tartes à la crème. Le voleur, essoufflé, abandonne le bijou dans un seau à Champagne : tout est bien qui finit bien. Mais justement ce n'est pas fini : notre voleur obstiné, affublé d'une barbe, réussit à se faire engager par le trépident Ludovic, ce qui lui permet de voler encore une fois le fameux bracelet à Mme Andromes qui avait accepté de figurer dans le roman-photo inspiré par sa mésaventure.
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