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LE HUSSARD SUR LE TOIT

 

 

Aventure de 1994 durée 135' Couleur

 

Réalisation et scénario de Jean-Paul RAPPENEAU

D’après le roman de Jean GIONO

Co-scénaristes Nina COMPANEEZ et Jean-Claude CARRIÈRE

Directeur de la photographie Thierry ARBOGAST

Musique de Jean-Claude PETIT

Montage de Noëlle Boisson

 

avec

Olivier MARTINEZ

Juliette BINOCHE

François CLUZET

Isabelle CARRÉ

Jean YANNE

Pierre ARDITI

Gérard DEPARDIEU

Daniel Russo

Yolande MOREAU

Christophe ODENT

Elisabeth MARGONI

Marie Albe

Jacques SEREYS

Yvonne GAMY

Jean-Marie WINLING

Nathalie KREBS

Alain Bauguil

Gérard Dubouche

Jean-Michel Fête

Christine PAOLINI

Celita Villar

Frédérique Ruchaud

Michel Cordes

Jean-Claude Dumas

Jacques Pater

Robert Lucibello

Christiane COHENDY

Georges Neri

Dominique NOÉ

Stéphane BOUCHER

Alexis Nitzer

Michel Hulot

Christophe Le Masne

Roselyne Vuillaume

Jean-Paul Journot

Laurence Cormerais

Michel Carliez

Lionel Robert

Bruno Cécillon

Richard SAMMEL

Henriette Palazzi

Hervé Pierre

Jean-François Pages

Patrick Médioni

Anne-Marie Ponsot

Eric Debrosse

Florence Hautier

Philippe Guégan

Paul Chevillard

Gérard Bayle

Joëlle Sevilla

Claudio AMENDOLA

 

 Sortie le 20 septembre 1995

Résumé

 1832. Traqué par des Autrichiens, Angelo, jeune hussard italien, carbonaro en exil, chevauche à travers la Provence pour rejoindre des amis cachés dans les collines et s’expliquer avec Maggiorani qui, pense-t-il, l’a trahi. Le choléra dévaste les campagnes. Partout des moribonds, des morts et des corbeaux qui accompagnent le malheur. Contre toute prudence, appliquant le précepte inculqué par sa mère («Soyez fou, mon fils, on n’est jamais assez fou !»), il tâche de comprendre ce fléau, aux côtés d’un médecin qui meurt peu après.

 Il franchit des barrages, évite des quarantaines, galope, tendu vers son but, voyage un temps avec une jeune préceptrice, accompagnée de deux enfants, les retrouve morts tous trois, cadavres moins anonymes que d’autres.

 À Manosque, il est pris pour un empoisonneur de fontaines, se réfugie sur les toits pour échapper à la fureur populaire et pénètre dans une maison où vit cloîtrée la belle Pauline de Théus, qui le recueille sans avoir peur de lui. C’est un coup de foudre réciproque qu’aucun des deux n’avoue. Ils décident de partir ensemble car Pauline veut retrouver son vieil époux. Ils affrontent des dangers, sont séparés, se retrouvent, mesurent combien la situation fait ressortir le pire ou le meilleur des individus qu’ils croisent : des militaires, un colporteur vénal et fourbe, des notables serviables ou peureux… Angelo règle ses comptes avec ses compatriotes, décide d’escorter Pauline puis de continuer vers l’Italie.

 Lors d’un arrêt dans un domaine abandonné, Pauline présente les symptômes du choléra. Angelo passe la nuit à frictionner à l’alcool son corps nu et la sauve. Pauline retrouve son mari, Angelo poursuit sa route. Un échange de lettres leur laisse l’espoir de se retrouver, plus tard.