PICPUS
Policier de 1942 durée 95' n&b
Réalisation de Richard POTTIER D'après le roman de Georges SIMENON Adaptation et dialogues de Jean-Paul LE CHANOIS Directeur de la photographie Charles BAUER Musique de Jacques MÉTÉHEN Décors de Andrej Andrejew Ingénieur du son Antoine Petitjean
avec Raymond Dardelin Fabienne Fortaire
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Sortie
le 12 février 1943
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Résumé Une dame Dumont déménage de son appartement de la rue Durantin pour le 102, rue de Picpus. Lorsqu'elle ouvre l'armoire que les déménageurs ont apportée, un cadavre de femme en sort. L'enquête piétine. L'inspecteur Amadieu, incompétent, doit céder la place au commissaire Maigret, lequel se reposait incognito à la campagne, sous le pseudonyme de M. Albert. Maigret commence par interroger les locataires de la rue Durantin; un romancier besogneux, Arno de Bédarieu, a croisé la victime peu avant l'heure du crime. Dans l'immeuble d'en face, un vieillard semble aussi avoir été témoin du meurtre, mais... il est aveugle, et a été assassiné lui aussi. Le mystère s'épaissit, avec l'entrée en scène d'un certain Mascouvin, lequel a découvert par hasard, dans un café de Montmartre, l'inscription suivante, reprise dans la presse; «Aujourd'hui, à 6 heures de relevée, je tuerai la voyante. Signé Picpus.» Le crime a lieu en effet, à 18 h 05. La victime, Mme Dumont, a eu le temps de griffonner ces mots avant de mourir; «Il a... avoué». Et voici que surgit un nouveau suspect; Le Cloaguen, médecin de marine en retraite, séquestré par sa femme et qui touche une pension confortable que lui verse un avoué de Saint-Raphaël, Maître Laignan. Avec l'aide de Bédarieu et de Mlle Berthe, la secrétaire de Mascouvin, assassiné lui aussi entre-temps, Maigret va résoudre l'énigme. Le coupable sera facile à confondre, puisqu'il a été «avoué». Après quoi M. Albert pourra retourner à sa vie tranquille, sur les bords de Marne...
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