VIDOCQ
Policier, Fantastique de 2000
Réalisation et dialogues de Pitof Scénario et co-dialoguiste Jean-Christophe Grangé Directeur de la photographie Jean-Pierre Sauvaire Musique de Bruno Coulais Montage de Thierry Hoss
avec Inès Sastre
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Sortie le 19 septembre 2001
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Résumé Paris, 1830. Parce qu’il a enfin vu le visage du mystérieux Alchimiste, le célèbre détective Vidocq disparaît dans les flammes d’une soufflerie de verre… À cette nouvelle, Étienne Boisset, son naïf biographe, décide de démasquer le coupable. Nimier, le revêche associé de Vidocq, lui donne une piste : sur ordre de Lautrennes, l’implacable préfet de police, Vidocq a enquêté sur la mort de trois hommes foudroyés par un procédé diabolique : Belmon, Lafitte et Veraldi. Dans les bas-fonds de Paris, Étienne interroge à son tour les témoins… Très belle courtisane, Préah lui révèle que les trois notables vouaient un culte à la beauté et qu’elle a involontairement contribué à leur mort. Par Sylvia, tenancière d’un bordel, et Froissard, journaliste, il apprend que les trois hommes offraient des vierges à l’Alchimiste afin de rester éternellement jeunes. Floués, ils se révoltèrent et périrent. Aidé par Marine, la veuve de Lafitte, terrée dans sa fumerie d’opium, Vidocq avait finalement trouvé le laboratoire du criminel. Parmi les murs couverts de sang et de lambeaux de chair, Vidocq a été terrassé par le maléfique Alchimiste. Mais il a brisé le masque-miroir conçu à partir du sang des vierges, qui aspirait les âmes des victimes. Étienne se rend donc à la soufflerie de verre, dernier lieu où Vidocq a été vu et où l’Alchimiste a dû se procurer un nouveau masque. L’y suivent Nimier, Préah, Lautrennes et son fidèle homme de main, Tauzet, inquiets de la disparition de Vidocq et des meurtres accompagnant chaque visite d’Étienne. Vidocq réapparaît sous les traits d’un souffleur de verre et révèle que l’Alchimiste n’est autre… qu’Étienne ! Après l’avoir piégé puis libéré les âmes prisonnières, Vidocq tue l’assassin, dont on ne retrouvera pourtant jamais le corps tombé dans la Seine…
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