NE RÉVEILLEZ PAS UN FLIC QUI DORT
Policier de 1988 durée 95' Couleur
Réalisation et scénario de José Pinheiro Co-scénaristes Frédéric Fajardie et Alain Delon D'après l'œuvre de Frédéric Fajardie Directeur de la photographie Raoul Coutard Musique de Pino Marchese Montage de Jennifer Augé
avec Vivien Savage
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Sortie le 14 décembre 1988 |
Résumé Des gangsters notoires sont sauvagement assassinés par des policiers, menés par le commissaire principal Roger Scatti. Ces extrémistes, organisés sous la bannière "Fidélité de la police", entendent appliquer la loi du talion et renverser l'ordre ancien. Chargé de l'enquête sur ces meurtres, le commissaire divisionnaire Grindel - aidé de ses adjoints Lutz et Péret -se met en quête de témoins, notamment, Pierre Stadler, un ancien terroriste d'extrême-gauche qui est supprimé par Scatti et ses fidèles, Valles, Spiero et Latueva. Grindel rencontre secrètement au jardin des Buttes-Chaumont son vieil indicateur, " le Stéphanois ", et ne peut lui éviter d'être abattu d'une flèche d'arbalète, tirée par... Lutz ! Grindel peut aisément confondre celui-ci qui était le seul, avec Péret, au courant de ce rendez-vous et qui, se voyant perdu, se jette par la fenêtre. La confession du policier Ginzbaum permet à Grindel de découvrir que "Fidélité de la police" a des ramifications bien plus importantes qu'il ne le pensait. A son tour confondu, Latueva se perce la gorge en un sordide rituel patriotique. L'assassinat de Ginzbaum porte à son comble l'exaspération des policiers loyalistes: on s'en est pris à l'un des leurs. Grindel lui-même échappe de peu, avec Cohen, à un traquenard meurtrier. Péret reçoit les aveux de Spiero, qui dit vouloir négocier sa fuite avec lui seul en échange d'une mise en rapport avec le grand responsable. Piégé face à un véritable tribunal de fanatiques, il est froidement tué par Scatti. Grâce aux confidences de Corinne, secrétaire du directeur Cazalières, Grindel fait arrêter celui-ci par l'IGS, la police des polices. Quant à Scatti, il l'abattra lui-même.
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