MIEUX VAUT ÊTRE RICHE ET BIEN PORTANT
que fauché et mal foutu
Comédie de 1980
Réalisation et scénario de Max Pécas Co-scénaristes Claude Mulot et Didier Philippe-Gérard Directeur de la photographie Roger Fellous Musique de Georges Garvarentz
avec Claus Obalski Ingeborg Steinbach Alexandra Delli Colli |
Sortie le 29 octobre 1980 |
Résumé Convoqué chez le notaire à la suite de la mort de son père, Christian (Cri-Cri) fait la connaissance de son demi-frère, Rudy. Mais pour hériter des trente milliards que leur lègue le défunt, les deux garçons sont tenus de rechercher leur demi-sœur Carole. Dans la vieille 2 CV de Cri-Cri, ils se rendent d'abord à la Grande Motte, dernier domicile connu de Carole. Là, ils apprennent qu'elle est partie en Espagne dans un camp de naturistes. Arrivés trop tard sur les lieux, Cri-Cri et Rudy suivent la piste du riche play-boy José Luis, dont leur sœur est devenue la compagne. Mais protégé par des sbires suspicieux, José Luis est inapprochable. Grâce à la petite amie de Cri-Cri, Mercedes, retrouvée là par hasard, ils entrent enfin en contact avec Carole. Cependant celle-ci abandonne bientôt son play-boy pour Henri Bouvier, amateur d'art homosexuel. Avec lui, elle s'envole pour la Tunisie où ses deux frères ont tôt fait de la localiser puis de l'arracher, non sans mal, à la secte où, droguée, on la retenait prisonnière. De retour à Paris, le trio s'empresse d'aller chez le notaire. Or, au dernier moment, Carole disparaît à nouveau, victime une fois encore d'un envoûtement mystique.
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