LA CHASSE à L'HOMME
Comédie de 1964 durée 100' n&b
Réalisation de Édouard MOLINARO D'après l'œuvre de Michel Duran Scénario et adaptation de France ROCHE et Michel Duran Dialogues de Michel AUDIARD Directeur de la photographie Andréas WINDING Musique de Michel MAGNE et Georges ZAMBETAS
avec
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Sortie le 22 septembre 1964
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Résumé Aujourd’hui, Antoine épouse Gisèle. «Ne te marie pas», plaide son ami Julien tandis que les compères déjeunent au bistrot. Fernand, le garçon qui les sert sous l’œil furibard de sa patronne et épouse, la blonde Sophie, n’est pas de cet avis. Il était gangster, raconte-t-il, et risquait sa vie à relever les compteurs de ses «marmites», Flora et Georgina. Mais ce dur caressait un rêve – «un p’tit commerce, une p’tite femme» – devenu réalité depuis qu’il a épousé son «p’tit cœur»… qui le rappelle sèchement à l’ordre ! En voiture, Antoine et Julien philosophent sur le mariage, cette «nécropole des illusions» selon le second qui raconte comment – alors qu’il était déjà harcelé par Isabelle, sa maîtresse – il fut piégé par sa secrétaire, Denise, qui s’était à son insu glissée dans son lit, et l’avait contraint à l’épouser sous la menace d’une inculpation pour détournement de mineure ! Mariage, heureusement, annulé par un prompt divorce ! Antoine croit à la sincérité de Gisèle. Mais Julien connaît la rouée et dévoile au promis les stratagèmes qu’elle inventa pour l’attirer dans ses filets. Antoine, convaincu, laisse la noce en plan. Il fera, seul, la croisière en Grèce et donne le billet de Gisèle à Fernand. Sur le bateau, Antoine se lie avec une délicieuse Sandra. Une vieille coquette, Madame Armande, avertit le naïf que sa dulcinée collectionne les «pigeons». «Pigeon, pas question», répond Antoine à la belle lorsqu’elle lui demande de lui prêter de l’argent. «Dès que je vois un homme, j’ai envie de le rouler» s’excuse Elizabeth, alias Sandra, qui offre à son soupirant, en guise de cadeau d’adieu, un porte-documents. Peu après, un policier grec, Papatakes, découvre des plans secrets dans le porte-documents et accuse Antoine d’espionnage. Celui-ci, pour éviter la prison, «arrose» Papatakes, qui se révèle complice de Clotilde, alias Elizabeth ! À Paris, Antoine retrouve un Fernand comblé, en ménage avec Madame Armande, rencontrée en croisière et devenue «ma mie !». Puis il s’en va épouser Françoise, ex-Clotilde, tandis que Julien, victime d’un coup de foudre, quitte la mairie au bras d’une invitée.
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