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LA BOURSE ET LA VIE

 

       

 

Comédie de 1965 durée 90' Couleur

 

Réalisation et scénario de Jean-Pierre MOCKY

Co-scénariste François MARZELLE

Adaptation de Jean-Pierre MOCKY, Alain MOURY

Dialogue de Marcel AYME

Directeur de la photographie Jean TOURNIER

Musique de Bernard KESSLAIR

Montage de Gabriel Rongier

 

avec

FERNANDEL

Jean POIRET

Michel GALABRU

Darry COWL

André GABRIELLO

Jean CARMET

Dominique ZARDI

Michael LONSDALE

Léonce CORNE

Claude PIEPLU

Marcel PÉRÈS

Henri ATTAL

Jacques LEGRAS

Philippe Castelli

Max Montavon

Henri Arius

Henri POIRIER

Gisèle Grimm

Maryse Martin

Roger LEGRIS

Simone Duhart

Edmond ARDISSON

Rudy LENOIR

Albert Dagnant

Max Amyl

Pierre Durou

Pierre GUALDI

Claude Mansard

Colette Teissèdre

Jean-François Dupas

Serge BENTO

Raymond Jourdan

Michel Duplaix

Françoise Arnaud

Gilbert ROBIN

Jean-Claude REMOLEUX

Albert Domergue

Heinz RUHMANN

 

Sortie le 27 avril 1966

 

Résumé

 Directeur financier à l'Immobilière Bertin, à Toulouse, Pétepan apprend de ses collègues les frères Robinhoude, à Paris, qu'ils ont spéculé et perdu l'argent qu'ils devaient déposer chez le notaire, Maître Laprise. Ils n'ont qu'un jour pour régler la somme. Décidant alors d'emprunter les dix millions à sa société sans l'accord de la PDG, Pélepan demande exceptionnellement à ses subordonnés, Migue et Schmidt, d'aller les retirer en liquide à la banque. Ils devront ensuite les remettre à Pélepan à la gare. Tous trois se retrouvent un peu plus tard - et séparément - dans le train pour Paris.

 A Montauban, Migue et Schmidt repartent dans l'autre sens mais aperçoivent Pélepan au dernier moment. Ils louent alors une voiture, conduite par un ecclésiastique, retrouvent Pélepan à Limoges et reprennent ensemble le train. Tandis que Migue et Schmidt attendent dans un compartiment, Pélepan cherche une valise pour y cacher l'argent, à la suite d'un décrochage de wagon, il arrive à... Vannes.

 Chez le pharmacien Dumoulin, président de l'aéro-club local, il téléphone aux Robinhoude et leur donne rendez-vous à la gare d'Austerlitz, en espérant qu'ils rencontreront Migue et Schmidt. Peine perdue : chacun va de son côté chez Bertin, au 54, avenue Méliès. Pélepan, lui, vole vers Paris avec Dumoulin; mais celui-ci ne localise plus l'aérodrome. A court d'essence, ils doivent atterrir sur une route : Pélepan repart en voiture. Avant de se rendre chez Bertin, Migue et Schmidt comptent l'argent au " Club des timides"... pour ne pas être remarqués. Comme ils ont fait de nombreux achats, il leur en manque une partie; près de la tour Eiffel, ils tombent sur des joueurs de " roulette automobile, et gagnent plus que la somme perdue !

 Tout le monde se retrouve enfin chez Bertin. Après bien des ennuis avec les gardiens et le chef comptable, ils s'en vont dans un bar. Schmidt comprend alors le trafic de Pélepan. Chez Maître Laprise, les trois compères parviennent à escroquer celui-ci en lui donnant son propre argent. Schmidt et Migue partent avec les billets en se tutoyant pour la première fois, suivis de Pélepan à qui ils n'adressent pas la parole...