LES BARBOUZES
Comédie de 1964 durée 109' n&b
Réalisation de Georges LAUTNER Scénario et dialogues de Michel Audiard Co-scénariste Albert SIMONIN Directeur de la photographie Maurice Fellous Musique de Michel MAGNE Montage de Michelle David
avec
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Sortie le 01 décembre 1964
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Résumé Benarshah, le richissime marchand de canons, est mort. Ses funérailles ont lieu à Lifchenstein, en présence - c'est normal - de sa jeune et jolie veuve Amaranthe, mais aussi d'un étrange quarteron d'individus qui se disent tous proches du défunt. L'un est français, Francis Lagneau, et paraît-il cousin du mort; l'autre, Muller, l'Allemand, prétend avoir été son psychanalyste; le troisième, Boris Vassilieff, est certainement plus Russe que frère de lait, comme il le dit, de Benarshah; quant au dernier, un Suisse aux manières doucereuses, nommé tout simplement Eusebio Cafarelli, il affirme avoir été le confesseur du regretté défunt. En réalité, tous les quatre sont des agents secrets, des " barbouzes " et chacun voudrait bien s'approprier l'héritage de Benarshah, détenteur des brevets de fabrication d'armes absolues, bactériologiques, nucléaires ou chimiques aussi terrifiantes les unes que les autres. Et Amaranthe en reçoit des propositions ! Les moindres ne sont pas celles d'un cinquième larron, l'Américain O'Brien, qui apparaît régulièrement avec des dollars toujours plus nombreux. Et toutes ces manœuvres se déroulent sous les yeux - bridés - de dizaines de Chinois cachés dans les murs du château de Benarshah ! Mais Lagneau porte un coup fatal à ses rivaux : il séduit la jolie veuve et la persuade, en invoquant l'intérêt supérieur de la France, de faire don des précieux documents au gouvernement français. Encore faut-il les transporter à Paris, ce qu'entreprennent Francis et Amaranthe. Dans le train, trois barbus bizarres (devinez qui) rôdent autour de leur compartiment. Ils vont s'éjecter les uns les autres du train lancé à pleine vitesse. Reste O'Brien, encore lui ! Lagneau l'élimine à son tour. Mission accomplie.
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