LE MONOCLE RIT JAUNE
Espionnage de 1964 durée 100' n&b
Réalisation et dialogues de Georges LAUTNER Scénario de Colonel Rémy, Jacques ROBERT et Albert KANTOFF Co-dialoguistes Albert KANTOFF et Jacques ROBERT Directeur de la photographie Maurice Fellous Musique de Michel MAGNE Montage de Michelle David
avec Barbara STEELE Edward MEEKS Holley WONG
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Sortie le 16 septembre 1964
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Résumé Après une vague d'attentats visant des centrales atomiques, le commandant Dromard, des services secrets français, est envoyé à Hong Kong sur les traces d'un suspect, Bergourian, qui sera assassiné. Dromard et Poussin, son adjoint, sont contactés par un jeune chargé de mission du consulat de France, Frédéric de la Pérouse. Logeant, pour ne pas attirer l'attention, dans le quartier chinois, chez le vieux Mayeriftsky, agent local, Dromard rencontre sur une jonque un banquier qui traitait avec Bergourian et qui se dit lui-même menacé. De fait, ses chinois, avec qui il diverge, le suppriment. Dromard et Poussin éliminent les assaillants, et sont attendus par la police britannique dont le chef, Sidney, leur laisse toute liberté pourvu qu'ils ne quittent pas Hong Kong. Or Dromard doit se rendre à Macao, où l'incite à se rendre un message remis par la pleureuse de l'aéroport. Celle-ci gît noyée au fond des filets de la maison de pécheur où elle avait fixé le rendez-vous. Dromard tente de convaincre Tien Wang, le, d'arrêter celui de ses disciples qui téléguide tous les meurtres pour soi-disant imposer la sagesse au monde et qui s'apprête à faire sauter un porte-avion américain afin de faire accuser la Chine. De retour à Hong Kong, Dromard se propose comme appât. Dès que lui, Poussin et Mayeriftsky seront en danger, ils chanteront et la police britannique viendra alors les secourir et les sortir des griffes du disciple fou, Oscar Hui. Mais Mayeriftsky est tué et Hui prend la fuite. L'épouse de ce dernier, une Française, prétend qu'il est mort depuis quatre jours. En réalité, le cercueil contient les explosifs destinés au porte-avions. Dromard le détourne par une habile initiative avant de neutraliser définitivement le fanatique et de rentrer à Paris, regretté par la belle Valérie Gasparelli.
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