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MARTIN ROUMAGNAC

 

 

Drame de 1946 durée 115' n&b

 

Réalisation, scénario et dialogues de Georges LACOMBE

D'après le roman de Pierre-René WOLF

Co-scénariste et co-dialoguiste Pierre VÉRY

Directeur de la photographie Roger HUBERT

Musique de Marcel MIROUZE

Montage de Germaine Artus

Décors de Georges Wakhévitch

Ingénieur du son Jean Putel

 

avec

Marlène DIETRICH

Jean GABIN

Margo LION

Marcel HERRAND

Daniel GÉLIN

Marcel PÉRÈS

Lucien NAT

Henri POUPON

Paul Faivre

Paul AMIOT

Jean d'YD

Palmyre Levasseur

Marguerite De Morlaye

Cadet Rivers

Jean DARCANTE

Jean HEUZÉ

Marcel ANDRÉ

Maurice Salabert

Charles Lemontier

Julien Maffre

René Hell

Odette Barencey

Frouhins

Frédéric Mariotti

Colette RÉGIS

Georges Bever

Camille GUÉRINI

Albert Montigny

Jean GOSSELIN

Jean Vilmont

René Marjac

Jane Maguenat

Colette Georges

Michel ARDAN

Maurice Dorléac

Philippe Olive

Renée Thorel

Robert Le Ray

Marcelle Hainia

 

 Sortie le 18 décembre 1946

 

Résumé

 Blanche Ferrand, une aventurière d'origine australienne, vit en exil au fin fond de la province française avec son oncle, qui tient un magasin de graineterie. Elle espère épouser un riche consul, M. de Laubry, dont la femme est gravement malade.

 Elle rencontre un entrepreneur de maçonnerie, Martin Roumagnac, qui tombe éperdument amoureux d'elle. Il lui construit une somptueuse maison de campagne pour abriter leur idylle. Leur liaison dure jusqu'à la mort de la femme du consul. Celui-ci, qui a fermé les yeux jusqu'à présent sur les amours de Blanche, met la jeune femme en demeure de rompre avec Martin.

 Cependant, les affaires de ce dernier périclitent. Persuadé que sa maîtresse est décidée à le quitter, il l'étrangle et met le feu à la villa qu'il avait fait aménager pour elle. Au cours du procès qui s'ensuit, Martin découvre qu'elle n'avait cessé de l'aimer et se laisse aller au désespoir, ce qui ne manque pas d'impressionner les jurés en sa faveur. Il est acquitté, faute de preuves. Mais peu après le verdict, il sera abattu par un surveillant de collège, admirateur de Blanche, qui avait acquis la preuve de sa culpabilité.