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JE HAIS LES ACTEURS

 

 

 

Comédie de 1986 durée 90' n&b et Couleur

 

Réalisation, scénario et dialogues de Gérard KRAWCZYK

D'après le roman de Ben HECHT

Directeur de la photographie Michel CENET

Musique de Roland VINCENT

Montage de Marie-Josèphe Yoyotte

 

avec

Jean POIRET

Michel BLANC

Bernard BLIER

Michel GALABRU

Guy MARCHAND

Wojtek PSZONIAK

Pauline LAFONT

Jean-François STEVENIN

Dominique LAVANANT

Patrick BRAOUDE

Alex Descas

Jean-Paul LILIENFELD

Claude CHABROL

Michel Such

Claire NADEAU

Vernon Dobtcheff

Roger LUMONT

Lionel ROCHEMAN

Jacques Deschamps

André Oumansky

Jézabel CARPI

Gérard DEPARDIEU

Jean-Paul COMART

Sophie DUEZ

Yan EPSTEIN

Patrick FLOERSHEIM

Benoît Ferreux

Bernard Marcellin

Mike MARSHALL

Yann Roussel

Hervé Hiolle

 

 Sortie le 10 septembre 1986

 Résumé

Hollywood, vers 1942. Orlando est l'agent de toutes les grandes stars et travaille en particulier pour les studios du grand magnat J. B. Cobb. A la veille du tournage d'une superproduction intitulée Fils du destin ", le jeune premier du film se fait assassiner. Tout le monde, depuis le scénariste Korman jusqu'au grand réalisateur Potnik en passant par la jolie comédienne Elvina, est complètement atterré. Orlando, soupçonné d'être le meurtrier parce qu'il avait eu des " mots avec la victime, a de plus en plus de migraines, et se fait soigner par un curieux personnage, vaguement hindousant, répondant au nom de Monsieur Albert.

 L'inspecteur Egelhofer enquête, tandis qu'entre en scène Laurence Bison, acteur " ringard " qui rêvait de reprendre le rôle de " Fils du destin ", qu'il avait déjà interprété. Mais, catastrophe! Un deuxième, puis un troisième crime sont perpétrés : cette fois, les victimes sont les comédiens John Paul Jones et Laurence Bison lui-même... qu'on avait pourtant également soupçonné d'être le meurtrier!

 Finalement, c'est un journaliste, Devlin, qui démêle les fils de l'intrigue : il découvre que le " fakir ", alias Monsieur Albert, menace Orlando. Voyant que sa partenaire Caroma était de plus en plus fascinée par Hollywood, Albert s'était pris d'une haine féroce pour cet univers factice et avait décidé d'en éliminer les protagonistes les uns après les autres. Il quitte Hollywood menottes aux poings...