UN CHIEN DANS UN JEU DE QUILLES
Comédie de 1982 durée 95'
Réalisation et scénario de Bernard Guillou Co-scénariste Claude Gallot Directeur de la photographie Claude Agostini Musique de Patrice Caratini Montage de Marie-Sophie Dubus
avec Richard Fiardo Jean-Guillaume Le Dantec Pascal Le Fur François Olivier Jean-François Palnin Louise Talgarn Eric Vergnaud Jean-Pierre Vivian
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Sortie le 26 janvier 1983
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Résumé Depuis toujours, Joseph Cohen est fermier dans une petite commune bretonne. Et voilà qu'un jour Alexandre, le châtelain, propriétaire des terres, décide de ne pas renouveler son bail! Joseph n'est pas homme à se laisser faire; mais, partant du principe que l'union fait la force, il fait appel à Pierre, son frère, monté à Paris voilà près de vingt ans. Ayant laissé Françoise, sa très possessive fiancée, Pierre arrive en Bretagne et commence à imaginer un plan d'action. Psychologue de métier, il se veut homme de dialogue, alors que Joseph est plutôt du genre à utiliser la carabine. Mais les maladresses et l'inconséquence de Pierre ne donnent pas de bons résultats. D'autant que les fils d'Alexandre, eux, ne reculent devant rien. Ainsi mettent-ils le feu à la paille de Joseph. Mais Pierre, le malin, trouve des preuves de leur forfait, au moment où arrive Françoise, qui n'a pas pu se résoudre à demeurer seule à Paris. Tout change alors. Joseph est tout émoustillé et Pierre n'a plus toute sa liberté d'action car la jalousie de Françoise ne manque pas de se manifester. Pierre ne tarde pas à comprendre cependant qu'Alexandre se joue de lui en faisant semblant d'accepter le dialogue. Alors il se décide pour une action d'envergure afin de s'opposer aux gendarmes lors de l'expulsion de Joseph, qui ne doit pas tarder. Françoise, Joseph et lui rassemblent donc tous leurs amis pour occuper la place. Et lorsqu'Alexandre et les gendarmes débarquent au petit matin, ils sont fort surpris de trouver la presque totalité du village dans la ferme de Joseph. L'affrontement menace. Mais seuls Pierre et Arnaud, un fils d'Alexandre, en viennent aux mains. Pierre triomphe à la grande joie de Françoise qui n'aurait pas supporté qu'il soit ridicule et les gendarmes vont pour se replier, sur un ordre du Préfet. Au moment où la maladresse de Pierre fait encore des siennes...
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