LA CUISINE AU BEURRE
Comédie de 1963 durée 100' n&b
Réalisation de Gilles GRANGIER Scénario de Pierre LEVI-CORTI et Jean MANSE Adaptation et dialogues de Pierre LEVI-CORTI et Jean LEVITTE Directeur de la photographie Roger HUBERT Musique de Jean MARION Montage de Madeleine Gug
avec Anne-Marie CARRIÈRE
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Sortie le 20 décembre 1963
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Résumé Prisonnier de guerre Fernand Jouvin s'est évadé. Il a été recueilli par Gerda, une plantureuse autrichienne qui lui fait oublier qu'il était marié aux Martigues avec Christiane. Celle-ci, le croyant mort, a épousé son chef-cuisinier André, qui a transformé son petit restaurant en un somptueux établissement : "La Sole Normande". Tout laisse à croire qu'il en serait toujours ainsi : Gerda à travailler, Fernand à se reposer, si les Russes ne libéraient, dix ans plus tard, le mari de Gerda. Lorsque Fernand arrive aux Martigues, il comprend vite la situation dramatique dans laquelle il se trouve et un stupide accident de voiture fait éclater la vérité. Feignant une extrême faiblesse, Fernand explique qu'il a été prisonnier en Sibérie. Le cœur de Christiane fond et André décide de recueillir l'ex-mari de sa femme. Mais le retour de Fernand frappe le mariage d'André de nullité et Fernand ne veut pas entendre parler de divorce. André devient d'une jalousie féroce; de plus Fernand refuse de l'aider dans son travail. Les jours passent... les deux hommes se rapprochent et même s'entendent sur le dos de Christiane. Fernand fait partager à André sa passion pour les boules et la pêche... Un soir de bringue, André disparaît laissant une lettre d'adieu. Fernand, qui l'aime à sa manière, mais qui ne veut reprendre ni la vie avec sa femme, ni surtout son travail de cuisinier, le rattrape à la gare. Ce dernier ne veut rien entendre. Fernand lui avoue alors qu'il n'a jamais été prisonnier en Sibérie. André promet de garder le secret; il lui donne également de l'argent et la clé d'une petite maison qu'il possède en Normandie.
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