LA PROVINCIALE
Comédie dramatique de 1980
Réalisation, scénario et dialogues de Claude GORETTA Co-scénaristes Jacques KIRSNER et Rosine ROCHETTE Directeurs de la photographie Philippe ROUSSELOT et Dominique Brenguier Musique de Arié DZIERLATKA Montage de Joële Van Effenterre
avec Angela WINKLER
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Sortie le 21 janvier 1981
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Résumé Devant de bien minces perspectives d'avenir, Christine quitte sa Lorraine natale, sa famille et ses amis, pour " monter à Paris". Sans argent, ni travail, ni appui, ni défense, elle s'installe dans le studio qu'habitait un ami architecte, lors de ses études. Dessinatrice en architecture, elle se recommande de lui auprès d'un promoteur, ancien camarade d'école. Celui-ci est prêt à l'employer, mais en échange de certaines compromissions... Christine refuse, et s'enfuit. Au cours de l'un des " jobs " occasionnels qu'elle doit accepter, Christine fait la connaissance d'un publiciste qui se prend de sympathie pour elle. Mais la jeune provinciale rencontre Rémy. Suisse, marié et père de famille, Rémy vit seul à Paris où il participe à un stage dans le service marketing d'une importante entreprise pharmaceutique. Mais, Christine refuse de n'être qu'une parenthèse dans la vie de Rémy, et préfère rompre... malgré ses sentiments. Elle participe au tournage de quelques émissions publicitaires et se lie d'amitié avec Claire, une comédienne sans rôle, qui vit seule avec deux enfants à charge, et qui accepte de passer plusieurs soirées par semaine avec des hommes en mal de tendresse. Un soir, Christine sort avec un P.-D.G. en pleine déprime, Pascal Chatel, qui est prêt à l'aider. Elle le raccompagne, alors qu'il est ivre-mort, à son domicile, et le laisse seul. Le lendemain matin Christine se présente au rendez-vous qui doit décider de son éventuelle embauche, mais apprend le suicide du P.-D.G.... Trop sensible et révoltée, Christine se décide à regagner sa Lorraine natale; surtout après ce nouvel " affront " que lui font subir des hommes haut placés, presque tous amis de Claire, qui trouvent distrayant de la faire participer à leur jeu futile : une course de femmes !
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