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LACENAIRE

 

 

 

Historique de 1989 durée 125' Couleur

 

Réalisation et scénario de Francis GIROD

Co-scénariste et dialoguiste Georges CONCHON

Directeur de la photographie Bruno de KEYZER

Musique de Laurent PETITGIRARD

Montage de Geneviève Winding

Costumes de Yvonne Sassinot de Nesle

 

avec

Daniel AUTEUIL

Isild LE BESCO

Jacques WEBER

François PÉRIER

Jean POIRET

RUFUS

Samuel LABARTHE

Gérard DESARTHE

Paul LE PERSON

Jean-Michel RIBES

Maïwenn Le Besco

Aurélien Recoing

Bertrand van Effenterre

Geneviève CASILE

Jean-Paul Muel

Jean DAVY

Jacques DUBY

Annie Savarin

Philippe UCHAN

Michel Vocoret

Jacques SEREYS

Claude Makovski

Daniel MESGUICH

Dominique Marcas

Jean-Pierre MIQUEL

Marie-Armelle DEGUY

Marcel BOZONNET

François BORYSSE

Maurice Bernart

Patrick PINEAU

Luce Mouchel

Henri Colpi

Guy Dhers

Henri Lanoë

René Bouloc

Joël Lefrançois

Jean-Damien BARBIN

Jean-Patrick Lebel

Gilles Brissac

Gérald Calderon

Jean-Pierre Honoré

Dominique Ollivier

Nicolas Lormeau

Marc Chouppart

Vincent Vallier

Vincent Solignac

Bernard Bireaud

Thierry DE CARBONNIÈRES

 

 Sortie le 19 décembre 1990

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Résumé

 Attendant son exécution, Lacenaire reçoit en prison ses dernières visites : la princesse Ida et l'abbé de Lusignan, les seuls qu'il dit avoir aimés, puis le journaliste Jacques Arago et le préfet de police Allard, qui l'arrêta et avec qui il se lia d'une estime réciproque. Ces deux derniers se sont engagés à publier ses Mémoires, qu'ils relisent et retouchent avec le chef de la censure, Pertuizet.

 Sont ainsi évoqués son adolescence au séminaire, qui fit de lui ce qu'il devint, son incorporation dans l'armée, sa désertion, son entrée en littérature comme écrivain public pour le compte de Damoiseau, sa révolte contre l'ordre social, l'assassinat d'un malfrat, Douchy, les vols qui le conduisent en prison. où il recrute ses comparses Avril et Baton avec lesquels il commet larcins et meurtres qui sont autant de façons de précipiter ce qu'il appelle un suicide par la guillotine.

 Dénoncé par ses complices alors qu'il séjournait à Chalon-sur-Saône, il est jugé et condamné à mort, ce dont il remercie ses juges après avoir transformé son procès en tribune théâtrale. Il est exécuté le 9 janvier 1836.