JO
Comédie de 1971 durée 85' Couleur
Réalisation de Jean Girault D’après la pièce de Alec COPPEL Scénario et dialogues de Claude MAGNIER Adaptation de Jean Girault et Jacques VILFRID Dialogues additionnels de Jacques VILFRID Directeur de la photographie Henri DECAE Musique de Raymond LEFÈVRE Montage de Armand Psenny
avec Ferdy MAYNE
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Sortie le 01 septembre 1971
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Résumé Auteur de pièces à succès, Antoine Brisebard est victime d’un maître-chanteur, Jo, qui menace de compromettre sa réputation en révélant les origines et le passé de son épouse Sylvie. Jo doit passer le soir même pour prendre possession de la somme exigée. Brisebard échafaude un plan meurtrier. Pendant que Sylvie, comédienne, est partie jouer au théâtre, il attend Jo, dans l’obscurité, l’arme au poing. Ne pouvant finalement se résoudre à tirer, il jette l’arme à terre. Mais le coup part et Jo s’effondre, raide mort. Brisebard n’a plus qu’à dissimuler le corps, comme prévu, dans les fondations de la gloriette, kiosque à musique commandé par Sylvie et installé dès le lendemain par l’entrepreneur Tonelotti. Lors de l’inauguration, en présence de nombreux amis et d’un couple anglais, les Grunder, qui désirent acheter la propriété, survient l’inspecteur Ducros : Brisebard figurait sur la liste des gens que Jo voulait rançonner; il est donc susceptible, comme ces derniers, d’être le meurtrier de Jo, dont le corps a été retrouvé à Bagnolet. Mais, alors, qui est le cadavre enfoui sous la gloriette? Un ami? Paniqué, Brisebard téléphone à toutes ses connaissances. Personne ne manque à l’appel. Il est alors contacté par deux gangsters, Grand Louis et Leduc, qui veulent savoir où il a mis Riri, leur complice parti en leur dérobant une mallette bourrée de billets. Un violent orage abattant la gloriette, mallette et cadavre sont facilement exhumés. Grand Louis et Leduc disparaissent avec le magot, Brisebard dissimule le corps dans une statue de plâtre sculptée par ses soins. Ducros revient et explique: c’est Riri, encaisseur pour le compte de Jo, qui a tué ce dernier et a été occis lui-même en étant pris pour son patron. Et son corps ne peut être que dans le jardin de Brisebard. Ducros fait alors creuser: rien. Sylvie finit par tout comprendre et aide son mari a transporter le mort dans une malle. L’affaire est close pour Ducros, qui a conclu à un règlement de comptes entre voyous. Mais, malencontreux hasard aidant? les Brisebard vont se trahir...
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