LA DAME D'ONZE HEURES
Policier de 1947 durée 91' n&b
Réalisation de Jean DEVAIVRE D'après l'œuvre de Pierre APESTEGUY Scénario et dialogues de Jean-Paul LE CHANOIS Directeur de la photographie René GAVEAU Musique de Joseph KOSMA
avec
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Sortie le 03 mars 1948 |
Résumé Stanislas Octave Seminario, dit S.O.S., rentre d'Afrique, où il a passé cinq ans, et retrouve ses amis Pescara dans leur maison de campagne. Muriel, la fille du maître de céans, dont il était amoureux, vient de se fiancer à un jeune étudiant en pharmacie, Paul Wantz. Charles, le frère de Muriel, confie à S.O.S. que leur père reçoit depuis quelque temps des lettres anonymes, signées "Vimy". L'atmosphère s'alourdit lorsque Charles découvre, dans une clinique d'aliénés des environs d'Arras, le cadavre d'une jeune femme qui est le sosie de sa sœur. A la suite de cette macabre découverte, il est assassiné. Son père, Gérard, connaîtra bientôt le même sort : empoisonné, il est frappé de paralysie. S.O.S. prend l'affaire en mains : ses soupçons se portent sur Paul Wantz. Celui-ci a été marié naguère à une certaine Hélène Tassin, infirmière de son état, qui fait chanter les Pescara. Wantz, déjà coupable de deux meurtres, se débarrasse de cette épouse encombrante et, démasqué, kidnappe Muriel. Mais S.O.S. veille. Avec l'aide du malicieux valet de chambre, Guillaume, il parvient à récupérer la confession sténotypée de Gérard Pescara; il en ressort que ce dernier a eu autrefois une liaison à Vimy (Pas-de-Calais), dont est née une fille, Geneviève, parfait sosie de Muriel. Le dénouement de cette étrange affaire aura lieu sur une péniche, qui porte un nom de fleur, "La dame d'onze heures", et sert de quartier général à Wantz. Poursuivi en voiture par S.O.S., le coupable fait une chute dans la rivière. Et S.O.S. pourra épouser la jolie Muriel, qui est saine et sauve.
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