MALEVIL
Fantastique de 1980 durée 120' Couleur
Réalisation et scénario de Christian de CHALONGE D'après l'œuvre de Robert MERLE Co-scénariste et dialoguiste Pierre DUMAYET Directeur de la photographie Jean PENZER Musique de Gabriel YARED Montage de Henri Lanoë
avec Jean LEUVRAIS Emilie LIHOU Edouard LINKERS Hanns ZISCHLER
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Sortie le 13 mai 1981 |
Résumé
Se réfugiant dans sa cave afin de lire une lettre de son fils exilé en Australie, Emmanuel, maire d'un petit village Français et propriétaire du château de Malevil, est interrompu par Peyssou, un paysan, Bouvreuil, le pharmacien, et Colin, suivis de La Menou et son fils Momo, arriéré mental, et du vétérinaire, qui souhaitent lui soumettre un problème d'aménagement de l'éclairage des rues. Soudain une violente déflagration les jette tous à terre, se prolongeant de très longues secondes au cours desquelles la température devient insupportable, faisant éclater les bouteilles de vin, soulever les couvercles des conserves et retirer aux victimes leurs vêtements. Le choc a profondément traumatisé celles-ci. Les manifestations de ce qui apparaîtra être une explosion nucléaire cessent. Longtemps les rescapés restent sans parler. Puis ils se décident à sortir pour constater qu'il ne reste que des ruines du village. Par chance, quelques animaux sont encore en vie. Ils assureront la nourriture nécessaire au groupe auquel se joindra Cathy, devenue aveugle et retrouvée par Momo dans une grotte. Petit à petit, le groupe s'organise : le pharmacien répertorie les médicaments tandis que Colin bricole un émetteur. Emmanuel, en dépit de la situation, conserve son titre de maire. Un autre groupe a trouvé refuge sous un tunnel, dans un train bloqué à cet endroit lors de la catastrophe. A sa tête, Fulbert, un fasciste qui impose sa loi et profite des femmes. Au cours d'un affrontement, Fulbert sera tué et son groupe rejoindra Malevil. Peu après, des hélicoptères apparaissent dans le ciel. Une voix demande à tous les rescapés de se rassembler. Ils sont emmenés vers me destination inconnue tandis que sur la rivière un radeau emporte quelques échappés.
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