LA REVANCHE DE BACCARAT
Aventure de 1947
Réalisation de Jacques de BARONCELLI Scénario et dialogues de André-Paul ANTOINE Co-scénariste Léon RUTH Directeur de la photographie Léonce-Henry BUREL Musique de Renzo ROSSELLINI Montage de Claude Ibéria
avec LOREDANA Vittorio SANIPOLI Ernesto SABATINI Ginette ROY Clara CANDIANI Mario SEILER Attilio Dottesio Luisa Rossi Marcello Giorda Gualtiero Isnenghi Silvia Manto Nino Marchesini Evelina Paoli Luisa Paoli Massimo Serato Cristina Veronesi
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Sortie le 23 avril 1948 |
Résumé Ayant miraculeusement échappé à la mort, Andréa reparaît. Aveugle et défiguré mais apparemment sans rancune, il se réconcilie avec Rocambole. En fait, son but est de rentrer en possession de la confession qu'il fit jadis signer à son protégé pour avoir prise sur lui. Lorsqu'il se rend compte de son manège, Rocambole se débarrasse définitivement d'Andréa. Mais c'est Venture qui s'empare du papier compromettant et va le porter à Baccarat. Celle-ci dénonce Rocambole au secrétaire de l'ambassade d'Italie et suggère de confronter l'imposteur à sa mère. Toutefois, madame Fippart fait mine de ne pas reconnaître son fils et Rocambole, très habile, fait endosser l'usurpation d'identité au “prisonnier 117” du bagne de Venise. En désespoir de cause, Baccarat part pour Constantinople avec son mari pour retrouver le major Gordon, seule personne au monde capable désormais de désigner le véritable comte de Chamery. Elle parviendra à rencontrer l'officier anglais tout en découvrant que le comte Artoff, ancien boutiquier des quartiers populaires de Stamboul, était lui aussi un escroc et un imposteur. À Venise, le jour où doivent être célébrées les noces de Rocambole et de Carmen de Montevecchio, Baccarat fait irruption avec le major Gordon, qui reconnaît formellement en la personne du “prisonnier 117” le véritable comte de Chamery. Rocambole, beau joueur, avoue et prend la place de sa victime au bagne. Mais il n'y restera pas longtemps; il s'en évade bientôt et rejoint au relais de poste de Vérone une Baccarat qui a compris qu'ils étaient faits pour s'entendre.
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