LA BELLE ET LA BÊTE
Fantastique de 1945 durée 96' n&b
Réalisation, scénario et dialogues de Jean COCTEAU D'après le conte de Mme LEPRINCE DE BEAUMONT (Ecrit en 1757) Directeur de la photographie Henri ALEKAN Musique de Georges AURIC Montage de Claude Ibéria
avec Noël Blin Janice Felty Ana María Martinez Gregory Purnhagen Gilles Watteaux
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Sortie le 29 octobre 1946 |
Résumé Il était une fois un marchand ruiné qui vivait avec ses trois filles, les orgueilleuses, Félicie et Adélaïde, la bonne et douce Belle. Son fils Ludovic, un chenapan, avait pour ami Avenant, amoureux de Belle. Un soir, le marchand s'est perdu dans la forêt et a volé, pour l'offrir à Belle, une des roses du domaine de la Bête, dont l'apparence est celle d'un grand Seigneur et dont le visage et les mains sont d'un fauve. Surpris par la Bête, le marchand, lui explique-t-elle, aura la vie sauve à condition qu'une de ses filles consente à mourir à sa place. Le marchand peut alors rentrer chez lui sur un cheval blanc nommé "le Magnifique", auquel il suffit de dire à l'oreille : "Va où je vais, le Magnifique, va, va, va... ! " Pour sauver son père, Belle se rend chez la Bête où elle n'a pas le sort qu'elle attendait : la Bête, qui souffre de sa laideur, l'entoure de luxe et de prévenance. D'abord apeurée, les sentiments de Belle se transforment en pitié avoisinant l'amour. Mais le marchand est malade. La Bête finit par laisser Belle se rendre à son chevet sous promesse de revenir. Chez son père Belle excite par ses parures, la jalousie de Félicie et d'Adélaïde. Dupée par leurs fausses larmes, Belle n'ose plus rejoindre le château. Poussés par les deux sœurs, Ludovic et Avenant se dirigent vers le domaine de la Bête pour s'emparer de ses richesses. Avenant y perdra la vie. Pendant ce temps, Belle est retournée au château pour trouver la Bête mourante : mais sous le regard d'amour de Belle, elle se change en un Prince Charmant qui s'envole avec elle vers son royaume magique...
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