RAFLES SUR LA VILLE
Policier de 1957
Réalisation et scénario de Pierre CHENAL D'après l'œuvre de Auguste LE BRETON Co-scénaristes Jean FERRY et Paul ANDRÉOTA Directeur de la photographie Marcel GRIGNON Musique de Michel LEGRAND
avec Pierre Sergeol Lucien Raimbourg
Georges
Douking
Agnès
Alma
Marie
Grant
Alain
Reynaud
Monique TANGUY
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Sortie le 15 janvier 1958
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Résumé Au cours de son évasion, un dangereux gangster - Pozzi, dit " le Fondu " - abat un des deux policiers lancés à ses trousses. L'autre, l'inspecteur Paul Vardier, jure de venger son camarade. Il se voit adjoindre par le commissaire Brévet un tout jeune inspecteur, Gilbert Barot qu'il va mettre au courant, non sans condescendance. Vardier, en effet, est un homme cynique, sûr de lui et de son pouvoir de séduction sur les femmes, mis au service de ses ambitions professionnelles. Machiavélique, Vardier menace le neveu du " Fondu ", un petit truand qu'on appelle " le Niçois ", de le coffrer pour proxénétisme s'il ne lui indique pas la cachette de son oncle. Or, celui-ci, réfugié dans le sous-sol d'une boutique avec Cri-Cri, sa maîtresse, prépare un nouveau casse. celui d'un dépôt de fourrures. Lorsqu'il découvre, à temps, que son neveu l'a trahi, il l'abat froidement. Fidèle à son personnage, Vardier a séduit Lucie, l'épouse de Barot. Mais il n'avait pas prévu d'en tomber amoureux ni d'être éconduit par la jeune femme. Aussi est-il particulièrement dépité et nerveux lorsque la police, informée par "le Niçois ", intervient la nuit du casse; il envoie Barot, à sa place, à la poursuite du " Fondu". Celui-ci, en s'échappant, tue Taillis, un vieil inspecteur tout près de la retraite et qui avait voulu protéger Barot. Peu après, grâce aux renseignements fournis par Loulou, la maîtresse du "Niçois ", "le Fondu " est arrêté. Dans le commissariat bourré de monde, le gangster jette la grenade qu'il cachait toujours sur lui. Pour éviter un carnage, Vardier se couche sur l'engin.
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