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VIOLETTE NOZIèRE

 

   

 

Drame de 1977 durée 124' Couleur

 

Réalisation de Claude CHABROL

D'après le livre de Jean-Marie FITERE

Scénario et dialogues de Odile BARSKI

Co-scénaristes Hervé BROMBERGER et Frédéric GRENDEL

Directeur de la photographie Jean RABIER

Musique de Pierre JANSEN

Montage de Yves Langlois

 

Avec

Isabelle HUPPERT

Stéphane AUDRAN

Jean CARMET

Mario DAVID

Dora DOLL

Bernadette LAFONT

Dominique ZARDI

Fabrice LUCHINI

Henri ATTAL

François Maistre

Jean PARÉDÈS

Jacqueline PIERREUX

Bernard LA JARRIGE

Micheline BOURDAY

François-Eric Gendron

Albert Augier

Bernard ALANE

Rudy Lenoir

Zoé Chauveau

Jeanne Herviale

Serge Berry

Jean-François GARREAUD

Henri-Jacques HUET

Jean-François Dupas

Serge Bento

Michel Duplaix

Jean-Marie Arnoux

Greg Germain

Gilbert Servien

Marius Laurey

Louise Chevalier

Jacqueline ALEXANDRE

Marco Pauly

Jean Depussé

Emmanuelle Stochl

Jean CHERLIAN

Benoît Ferreux

Florence Guerfy

Jean-Pierre Coffe

Bernard Papineau

Francis Terzian

Carine François

Maurice Vaudaux

Frédérique Tirmont

Raoul Guylad

Susanne Berthois

Lisa LANGLOIS

 

 Sortie le 24 mai 1978

 

Résumé

 En 1933, Violette a 18 ans. Son père, Baptiste Nozière, est mécanicien dans les chemins de fer. Avec sa mère, Germaine, son père et elle, ils vivent dans un minuscule appartement. Ses parents, de condition modeste, rêvent pour Violette d'une existence autrement plus brillante que la leur. La fille, étouffée par cette atmosphère petite-bourgeoise, s'enfuit la nuit, fréquente des étudiants. Elle ne tarde pas à contracter la syphilis. C'est le scandale. Violette est exaspérée par l'attitude lâche de ses parents. Elle tente une première fois de les empoisonner.

 Mais Violette tombe amoureuse d'un garçon médiocre, Jean Dabin, qui rapidement profite d'elle. La fille vole les économies de ses parents. Sa famille lui est de plus en plus insupportable. Violette empoisonne Baptiste et Germaine qui, elle, est sauvée. Sa fille indigne est arrêtée. Le procès mobilise la presse et l'opinion.

 Violette déclare qu'elle ne désirait pas la mort de sa mère mais celle de son père parce que ce dernier aurait abusé de sa vertu. Germaine accuse néanmoins sa fille d'une double tentative de meurtre. Violette est condamnée à mort. Elle passe des moments interminables en prison, à ressasser ce crime qui semble la dépasser.

 Violette Nozière, en dernière instance, sera graciée, libérée et réhabilitée.