COURTE TÊTE
Comédie de 1956 durée 88' n&b
Réalisation et scénario de Norbert Carbonnaux Co-scénaristes Albert SIMONIN et Michel Audiard Dialogues de Michel Audiard Directeur de la photographie Roger DORMOY Musique de Jean PRODOMIDÈS Montage de Jacqueline Thiédot
avec
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Sortie le 27 février 1957 |
Résumé Amédée Lucas vend des pronostics aux turfistes à l'entrée de Longchamp. Il a faim et un élégant gentleman, apitoyé semble-t-il, l'emmène au restaurant où ils s'installent à une table déjà occupée par un provincial à l'air godiche. Olivier Parker, le, se dit entraîneur de chevaux, et présente Amédée comme son meilleur jockey, Teddy Morton, à un brave paysan. Ce dernier, Ferdinand Galiveau, volailleur en goguette à Paris, est fasciné par la faconde et la munificence de Parker qui, pourtant, lui laisse l'addition à payer. Quant à Amédée/Teddy, il est béat d'admiration lorsque son se fait faire un costume et lui offre un veston en échange d'un au tailleur qui, de surcroît, lui confie l'argent de son pari ! En réalité, Parker, un escroc, a choisi Ferdinand comme victime, de sa : il le convaincra de la victoire d'un tocard et empochera le montant de sa mise... Le tout est de lui inspirer confiance, comme Teddy qui, sur un tabouret de bar, mime ses victoires imaginaires à Ascot ou Epsom, et de s'entourer d'amis respectables, tels Lola, qui se dit d'Héricourt, ou Prosper, spécialiste du fric-frac en église, qui se prétend colonel comme le soi-disant des Empois s'affirme général ! Tout ce beau monde embarque le volailleur dans le tourbillon de; grisé, Ferdinand est prêt à tout gober... Ainsi le naïf, au matin de la course, croît-il visiter le haras de Parker et assister à l'entraînement de, la jument dont Prosper, déguisé en garçon d'écurie, lui prédit la victoire. Vantard et bavard, Ferdinand réunit les paris du personnel de l'hôtel et charge Parker de les jouer. Celui-ci empoche le magot puis va le miser sur un tocard dont un entraîneur lui a chuchoté les mérites... ! Mais un autre cheval gagne, sur lequel Galiveau, secrètement, a joué, touchant le gros lot ! Parker, lui, n'a plus qu'à chercher un autre...
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