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Sénéchal LE MAGNIFIQUE

 

   

 

Comédie de 1957 durée 95' n&b

 

Réalisation et adaptation de Jean BOYER

Scénario de Jean-Jacques ROUFF

Co-adaptateurs Serge VEBER, Jean-Jacques ROUFF et Jean MANSE

Dialogues de Serge VEBER

Directeur de la photographie Charles SUIN

Musique de Paul MISRAKI

Montage de Jacques Desagneaux

Décors de Robert Giordani

Ingénieur du son P.H. Goumy

 

avec

FERNANDEL

Nadia GRAY

Simone PARIS

Suzanne Dehelly

Robert PIZANI

Georges LANNES

Roland ARMONTEL

Georges CHAMARAT

Jeanne AUBERT

Madeleine BARBULÉE

Paul AZAÏS

Jack Ary

Gaston ORBAL

Luce Fabiole

Pierre STEPHEN

Albert DINAN

Henri GARCIN

Fred Pasquali

Gérard DARRIEU

Sacha Briquet

Charles Bouillaud

Nina Myral

Charles Bayard

Camille Guérini

Serge Nadaud

Hélène TOSSY

Georges BACONNET

Jane MORLET

Manuel Gary

Émile Genevois

André Philip

Victor Tabournot

Virginie Vitry

Jenny Astruc

Jacques Mancier

Roland Rodier

Dominique Boschero

Liliane Patrick

Jacqueline Caurat

Roméo Carlès

Jimmy Perrys

Marcel Bernier

Catherine Gay

Max Amyl

Andrès

Robert Balpo

Laure Paillette

Barbara Brault

Denise Pezzani

Raymond Carl

Barbara Cruz

Robert Mercier

 

Giovanni Guarducci

 

 Sortie le 24 mai 1957

 

 

 

Résumé

 Comédien itinérant, François Sénéchal tient le modeste rôle du capitaine Gamberge de la Légion Étrangère, dans une pièce qu’il doit jouer dans un petit théâtre de Dreux.

 Mais la tournée, jugée non rentable, vient d’être annulée par son directeur, Carlini, et l’ensemble de la troupe regagne Paris. Toujours revêtu de son costume de scène, Sénéchal rate son train. Pris pour un authentique officier de la Légion, il devient malgré lui l’invité du colonel Trochu et a bien du mal à repousser les avances de la femme de son hôte.

 De retour à Paris et ayant revêtu un bel habit d’apparat pour un rôle que Carlini lui refuse, il est entraîné, malgré lui, dans une soirée mondaine au cours de laquelle, se faisant passer pour le consul de France au Honduras, il rencontre la princesse Ludibesco, une charmante Roumaine. Ces deux expériences l’incitent à jouer désormais dans la vie réelle les rôles qu’on lui refuse sur scène. Tour à tour académicien, évêque, médecin, sous-préfet ou gangster, il poursuit une vie d’imprévus et d’aventures.

 Démasqué, il comparaît en correctionnelle pour escroquerie et port illégal d’uniforme, mais tient si bien son rôle d’accusé repentant qu’il enthousiasme le public et obtient la clémence du juge. Cette fois, Carlini lui trouve un rôle dans une nouvelle pièce. Le soir de la première, bien que devenu aphone, il met une fois de plus les rieurs de son côté et obtient un triomphe.

 À tel point que le directeur du théâtre impose à l’auteur de modifier sa pièce afin d’y inclure plusieurs interventions de Sénéchal. La princesse Ludibesco, dont il était tombé amoureux et qui a assisté au spectacle, lui donne rendez-vous après la représentation pour un souper intime.