FOLLE à TUER
Suspense de 1975 durée 97' Couleur
Réalisation de Yves BOISSET D'après le roman de Jean-Patrick MANCHETTE Scénario et dialogues de Sébastien JAPRISOT Co-scénariste Claude VEILLOT Directeur de la photographie Jean Boffety Musique de Giuseppe VERDI (" La Force du Destin ") Arrangements Philippe SARDE Montage de Albert Jurgenson
avec Tomas MILIAN Thomas WAINTROP
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Sortie le 20 août 1975 |
Résumé
Bienfaiteur, par obligation testamentaire, d'un établissement psychiatrique, le richissime industriel Mostri engage, pour s'occuper de son neveu, une jeune internée, Julie, désormais entièrement rétablie. Du jour au lendemain, celle-ci se voit transportée dans un univers inquiétant au sommet d'une tour de la Défense où résident Mostri et Thomas, enfant capricieux et orphelin depuis peu. Un matin de promenade au parc de Saint-Cloud, Julie, Thomas et Georges, le chauffeur chargé de leur surveillance, sont kidnappés. Le tueur commandité pour cette opération, force Julie à écrire une confession la faisant passer pour une folle, prête à se pendre avec l'enfant, faute de réponse à sa demande de rançon. Mais grâce à des dissensions entre le tueur et Georges, qu'elle découvre avec stupeur être complice du rapt, Julie parvient à leur fausser compagnie avec Thomas, échappant de justesse au gibet promis. Recherchée par la police, pour laquelle elle éprouve une terreur fondamentale, poursuivie par le tueur, qui s'est débarrassé de Georges, elle réussit néanmoins, au terme d'une cavale échevelée à rejoindre la résidence secondaire de Mostri, dans le Midi de la France. Sur le point d'être arrêtée par le commissaire mis sur l'affaire, Julie doit son salut à Thomas, très attaché à elle, qui découvre par hasard, dans la cheminée de son oncle, une moitié de liasse de billets calcinée. L'autre partie est retrouvée dans la poche du tueur, abattu par la police alors qu'il venait se venger de Mostri. Tout prouve alors la culpabilité de celui-ci, contraint à cette mise en scène pour se débarrasser et hériter du fils d'un frère qu'il haïssait. Le plus fou de tous n'est donc pas celle que l'on croyait
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